J’adore cette métaphore que j’ai découvert avec la PNL (Programmation neurolinguistique).
Elle signifie que nous décodons le territoire/le monde avec nos perceptions personnelles liées à nos 5 sens (goût-vue-odorat-toucher-l’ouïe). Ensuite nous intégrons ces données dans notre système interne, c’est notre carte. Cela donne « une carte interne du monde extérieure ». Ce qui veut dire que la représentation que nous avons du monde n’est jamais fidèle à ce qu’il est réellement.
Notre éducation, nos expériences, nos valeurs et nos croyances structurent cette carte du monde. Cette carte du monde est également construite par la sélection/suppression, la distorsion et la généralisation des données intégrées par notre système. Il y a forcement des éléments qui sont perdus dans la structuration de nos souvenirs ou une altération de la réalité.
Par ce fait, nous avons une conscience limitée de notre monde.
En restant ouvert aux possibilités, à l’instant, en mettant du relief à ce qui l’autre nous propose, en choisissant de regarder avec un autre filtre, en arrêtant d’utiliser les « souvent », « toujours », « jamais ». Et en les remplaçant par « peut-être », « j’imagine que », « et si », nous développons notre capacité d’adaptation, notre compassion, nous restons ouvert à l’autre et notre cerveau est en capacité d’agrandir notre carte afin de regarder avec plus de lucidité le territoire.
Ainsi beaucoup d’incompréhension , d’interprétation pourraient être éviter.
Et toi as-tu conscience de ta carte du monde ?
Bien à toi
Sophie
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